J'AI DE LA PERSONNALITÉ › Leeroy déteste qu'on prononce mal son prénom. Il a l'habitude de dormir très peu. Il n'écoute jamais ce qu'on lui dit et est plutôt du genre à être partisan du dicton faites ce que je dis, pas ce que je fais. Il aime avoir raison et s’énerve vite lorsqu'on le contrarie. Il ne supporte pas qu'on le dirige. Il est du genre à enfreindre les lois pour se faire sa propre justice. Il a du mal à parler de ses sentiments. Il n'évoque jamais ses parents, ni sont passé. Il est du genre à rester sans parler pendant plusieurs jours.

Tout commence comme on nous l'a toujours dit, par notre naissance, par des cris, des pleurs du nouveau que l'on était, mais dont on ne se souviens pas. On sait parce qu'on nous l'a dit, rien nous prouve que tout était vrai. Rien nous prouve que ce ne sont pas des mensonges. Il semblerait que je fasse partis de ces cas là, des gens pour qui le mensonge fait partis de la vie. J'ai grandi dans une famille très riche, pour être honnête plus que riche en fait. Mes parents on basé leur fortune sur leur célébrité qu'ils avaient eu grâce à leur parent qui étaient des sortes de mania de la finance et des banques. Je suis né avec une cuillère en argent dans la bouche, mais contrairement à d'autres j'ai été plutôt bien élevé, mes parents étaient toujours là pour moi. Je ne fus pas leur seul enfant, après moi il y a eu ma sœur. On a eu une enfance plutôt tranquille, malgré le nom que je portais. J'allais au début à l'école moldue, ma mère tenait vraiment à ce que j'ai une enfance normal malgré qu'elle était sorcière, mon père lui était moldu. C'était lui qui gérait toute l'entreprise qu'ils tenaient tous les deux, ma mère avait beau être sorcière elle aimait le monde de son mari et la normalité. Je faisais souvent mon malin à cette époque. J'avais beau avoir huit ou neuf ans je voulais surtout grandir et être plus vieux. Je n'ai jamais aimé qu'on me donne des ordres et j'ai toujours fait le contraire de ce qu'on me disait. J'ai été calme jusqu'à l'apparition de mes pouvoirs. Je me suis senti si particulier d'avoir de tel dons que je prenais tout le monde de haut. Je savais qu'en arrivant à Poudlard je ne serais quelqu'un de normal pour la communauté de sorciers. J'ai assez mal pris de ne pas être comme les autres de n'être que la moitié d'un sorcier.

J'avais onze ans et je détestais qu'on me prenne pour un minable. J'ai été envoyé à serpentard et je me sentais plutôt à l'aise là-bas, mais pour tous les serpentards qui se respectent j'étais juste invisible. Je n'avais pas ma place avec eux. Je me suis souvent fait charrier à cause de mon sang impur et j'ai fini par le cacher, par ne jamais parler de mes parents, parce que je savais que je serais mieux accepter.

Les années passaient trop vite, je ne voyais rien venir. Je grandissais, devenant méprisant parfois avec des amis que je m'étais fais au départ, puis plus sympa avec ceux de ma maison. Je ne me rendais pas compte que je devenais comme eux. Je voulais qu'on arrête de me charrier, qu'on me voix, comme on voyait quand j'étais avec mes parents, mais ça ne marchait pas forcément. Je suis alors entrer dans leur jeu et j'ai essayer de devenir pareil. Je n'aimais pas vraiment ça, mais ça m'amusait parfois. Je les aidais à s'en prendre aux autres, je l'ai aidais à faire des sales coups et ils m'appréciaient. J'ai fait ça un long moment, pour leur montrer que j'avais ma place ici, mais je n'avais pas encore compris les vrais valeurs des serpentards qui au départ à mes yeux étaient la méchanceté et la ruse. Je suis devenu en quelque sorte une petite frappe, qui n'arrêtait pas de se moquer des gens et de provoquer des bagarres, de jouer avec les filles et de leur briser le cœur sans raisons.

J'entraînais parfois ma sœur qui été arriver après moi et qui était aussi à serpentard, mais elle était plus douce que moi, plus gentille, mais très déterminée. J'ai essayer de faire en sorte qu'elle me suive, mais ça n'a pas vraiment marcher. J'ai compris seulement trop tard que j'étais devenu quelqu'un de faux lorsque mes amis m'ont trahi. Ils s'étaient juste servis de moi, j'étais devenu une sorte de larbin pour eux. Ils ne m'ont jamais pensé capable à aspirer aux grande choses, mais ma détermination à payer. Je me suis séparer d'eux et j'ai suivi ma propre route. Je me suis pris pas mal de coups parce que ça les as agacés, mais je ne voulais plus avoir à faire à eux je valais mieux que ça. Je l'ai su à cause de ma mère en fait. Durant les vacances elle me criait dessus parce que j'étais insupportable comme toujours et j'étais ce jour là en colère, j'en avais assez qu'elle me tombe toujours sur le dos et je m'en suis pris à elle. Je lui ai lancé un sortilège, pas un sortilège dangereux, non, mais un sortilège quand même et j'ai compris que ce n'était pas ça que je voulais être. Je me suis excusé mille fois auprès d'elle et de mon père, mais rien n'y faisait. Ils m'ont simplement demandé de quitté la maison.

Je suis allé chez mes grand-parents qui m'ont accueillis, mais ils étaient en colère aussi contre moi. Ils avaient l'air de savoir que j'aurais un jour dérapé. Je n'ai pas tellement compris pourquoi, mais ils m’engueulaient et on lâché que j'étais comme mon père de toute manière, que je ne valais pas mieux que lui. Je les ai regardé d'un air interrogateur, me demandant de quoi ils parlaient. Me voyant aussi interloqués ils n'ont pas pu me cacher longtemps la vérité. Ma mère lorsqu'elle était jeune avait eu un amant, qui était moldu et qui était violent avec elle, cette personne-là est mon vrai père. Je n'ai pas voulu le croire. Je suis retourné complètement perdu à la maison, peu m'importait qu'on ne veuille pas de moi. J'ai alors demandé des explications, tout ce qu'on m'avait dit était faux, comme quoi le mensonge est partout. Elle l'a cachée simplement pour ne pas que la presse le sache tout comme elle cachait ses pouvoirs.

Je venais de finir mes études lorsque j'ai su tout ça. Ça a changé ma vision des choses. Je me suis dis que je n'étais qu'un idiot d'avoir voulu être comme les autres, je ne l'ai jamais été. Je me suis renfermé sur moi même et j'ai voulu devenir quelqu'un d'autre, devenir meilleur, me racheter en quelque sorte, même si j'étais jeune, je savais que j'avais merdé quelque part. Je ne voulais pas avoir ce statut de chieur tout ma vie et j'avais assez grandi pour le comprendre. Je me suis donc engagé à vouloir aider les gens. J'ai suivi une formation de médicomage et j'ai eu un poste quelques années après. Je n'ai pas beaucoup parler à ma mère durant ces années là, ni a mon père. Je leur en voulais de m'avoir caché la vérité. Il n'y avait que ma sœur à qui je donnais des nouvelles. Elle me trouvait renfermé et parfois un peu rude et buté aussi. Elle avait réussis ses études et elle se préparait à devenir auror. Nos parents devaient être fier de nous. Je m'en fichais un peu. Mais j'aurais du y faire attention plus souvent. Ma mère a été nommé au ministère au service des la coopération magique et internationale. Elle passait son temps là-bas, comme je passais le mien à st mangouste. Tout allait plutôt bien, avant l'arrivé de ce coup d'état. J'étais là quand ça s'est passé. J'ai vu ce qu'ils ont fait. Tout ceux qui ne voulaient pas participer à leur régime ils les tuaient. Je les ai vu la tuer avant de pouvoir m'enfuir. Je fais souvent des cauchemars depuis ce jour là. Je le revois étendu par terre et moi qui n'a rien fait pour le sauver. Ma sœur me dit souvent qu'ils m'auraient tuer aussi si je ne m'étais pas enfui. Je me sens seulement lâche de n'avoir rien tenter.

Je me suis senti presque obligé de faire quelque chose contre ce nouveau régime. Le monde ne doit pas fonctionné comme ça. Je ne le permettrais pas. Avec quelques personnes, nous avons organisé une résistance. Une résistance qui désormais se battra chaque jour pour un monde meilleur. On me trouve parfois dur avec les nouvelles recrue, mais j'essaie de leur inculqué notre vision des choses. Je n'hésiterais pas à tuer un membre du nouveau régime s'il le fallait. Je me fais peut être justice moi même, mais s'ils veulent jouer à ça je suis près. La guerre est déclarée et depuis longtemps. On vit dans leur ombre, sans qu'ils ne sachent où on est, mais nous sommes là tout près, et ce jusqu'à ce qu'ils disparaissent. .