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 I knew you were trouble- Hope

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Leeroy G. Jefferson

Leeroy G. Jefferson
administratrice

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I knew  you were trouble- Hope Empty
MessageSujet: I knew you were trouble- Hope   I knew  you were trouble- Hope Icon_minitimeMar 28 Jan - 22:27

Hope & Leeroy ❥ l'amour est invisible pour les yeux des hommes insensibles.



La vengeance est un plat qui se mange froid, je le savais pourtant bien et ça faisait déjà un moment que je cherchais à faire payer celui qui avait tué ma mère et pris sa place par la même occasion, grâce à Améthyste je savais à qui j'avais à faire, je connaissais exactement les déplacements et les horaires de mr le ministre de la coopération magique et internationale. C'est bien pour ça que j'attendais impatiemment son arrivé ou plutôt sa sortie du ministère au coin de la rue dans laquelle il transplanait un soir sur deux, il était intelligent il n'allait pas tous les soirs au même endroit, mais pas assez intelligent à mes yeux. Il s'exposait trop et ce soir ça lui serait fatal, du moins s'était comme ça que je le voyais. Il y avait encore un peu de neige dans les rues et les températures n'étaient pas plus chaude qu'en décembre, mais je ne portais qu'un trench noir bien plus classe, mais moins épais qu'une grosse doudoune, de toute façon je n'ai pas besoin de marcher beaucoup pour être chez moi alors ça ne m'aurait servit à rien de mettre quelque chose de plus chaud. Quoi qu'il en soit ça faisait dix-minutes que j'attendais l'arrivé du ministre et que je commençais à avoir froid au main. Je serrais de temps à autre ma baguette magique que je comptais utiliser très bientôt. Cependant rien ne se passa comme prévu. Du moins au début si il arriva et fut surpris de croiser quelqu'un dans cette ruelle. « Bonsoir mr Andersten, » Il s'était arrêté me dévisageant, je m'étais approché. « A qui ais-je l'honneur annoncez-vous que je sache ce que vous me reprochez. » Il avait l'air de savoir que les rues de Londres n'étaient jamais sûres pour des gens comme lui en ce moment avec tous les rebelles qui y traînaient. « Astrid Jefferson. Peut-être qu'avec ça la mémoire vous reviendra. » Lorsqu'il entendit le nom de ma mère j'ai lu dans la lueur de ses yeux qu'il se souvenait et son petit sourire a été de trop. J'étais déjà très près de lui et j'allais lui lancer un sort, mais c'est lui qui a le dessus. Il s'était sans doute préparer à ce genre d'attaque et avait un poignard qu'il avait saisit plus rapidement que je n'avais attrapé ma baguette qui tomba à terre tandis qu'il enfonçait son poignard dans ma poitrine et que je sentais la lame me transpercer. Je n'avais pas prévu que ça tournerait comme ça.  Il me regarda d'un air amusé et me lança « Vous voyez j'aurais eu les deux Jefferson, la mère inutile et le fils idiot Jackpot. » J'allais reprendre ma baguette pousser par la haine et l'envie de le détruire, mais il la brisa en deux en marchant dessus et me lança un grand sourire avant de disparaître dans un « crac. » J'avais raté mon coup, j'étais tout seul et je n'avais plus de baguette, pour être la loose ça l'était. J'aurais du m'attendre à ce qu'il surveille ses arrières, Leeroy qu'est-ce que tu peux être imbécile. Je ne voulais pas retourner à st mangouste, ils me poseraient trop de questions, pareil pour un hôpital moldu. Je n'ai pas réfléchis et j'ai transplaner chez la première personne à qui je pensais. Hope. Oui étrangement c'est  à elle que j'ai pensé tout de suite, sans trop savoir pourquoi d'ailleurs et j'ai débarqué non sans mal et sans douleur. J'ai à peine atterrit que je ne tenais plus vraiment debout et je me suis en fait retrouver devant sa porte ou j'ai sonné une bonne dizaines de fois appuyé contre la porte faisant pression sur la blessure avec ma main sachant très bien que ce n'est pas ça qui me sauverait, j’espérais juste qu'elle était bien là et qu'elle m'aiderait, même si intérieurement je savais déjà que oui.  
©flawless


Dernière édition par Leeroy G. Jefferson le Jeu 30 Jan - 12:42, édité 1 fois
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Hope M. Coughlin
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Hope M. Coughlin
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MessageSujet: Re: I knew you were trouble- Hope   I knew  you were trouble- Hope Icon_minitimeJeu 30 Jan - 2:24

¤ J'ai un peu changé d'idée sur la déco mais c'est pas grave I knew  you were trouble- Hope 725126Et je coderai et répondrai aux autres demain, même si c'est pas raisonnables, parce que c'était quand même eux d'abord en fait mais... I knew  you were trouble- Hope 982180¤

Je ne m'attendais évidemment pas à ça. J'ai aucun don de voyance, de préscience ou quoi que ce soit de ce genre, donc aucun risque pour que j'imagine... ça. Nan sérieusement, ce soir, je pensais juste... En fait, à rien de spécial. La Pleine Lune est passée, la semaine dernière et les entrevues pour le moins bizarres avec Crowford aussi, on est repartis pour une semaine normale, métro, boulot, dodo, enfin sans le métro parce que le monde sorcier ne le conçoit pas trop mais voilà l'idée... Ou en tout cas, c'était ce que je croyais.

Je suis rentrée du travail comme tous les jours, je me suis posée devant mon installation informatique dernier cri pendant plus d'une heure, avant de me préparer un plateau repas que j'ai grignoté devant la télé. Je crois que n'importe quel moldu me verrait chez moi comme ça sans pouvoir imaginer une seconde que derrière la porte, là, dans ma chambre, il y a un tas de grimoire sorciers, ni que mon armoire à pharmacie regorge de plus d'onguents et philtres divers – merci ma cousine – que de médicaments sortis de laboratoires pharmaceutiques. Par contre, il tiquerait sans doute sur le contraste entre l'équipement technologique et les meubles un peu désuets qui composent mon mobilier. En l'occurrence, je suis installée sur une méridienne en acajou et tapissé d'ocre, et non un canapé convertible comme on peut en voir un peu partout, et mon écran plat surplombe un buffet bas qu'on imaginerait dans une vieille ferme à la campagne plutôt qu'en plein cœur de Londres. Mon café – même à cette heure – fume dans sa tasse posée sur le guéridon en fer forgé patiné et orné d'un naperon de dentelle qui me sert de table basse. Et le côté informatique dernier cri tranche avec le bureau plat Louis XV en bois de rose sur lequel il est installé.

C'est pas mieux dans ma chambre, ni la salle de bains, et la cuisine n'est mieux lotie que parce qu'elle est aménagée entièrement et donc moderne. Et moi, démaquillée, les cheveux détachés, vêtue d'un ensemble en satin débardeur bordé de dentelle et pantalon fluide gris perle et sous un épais plaid chocolat, je regarde tranquillement la télévision quand on s'est mit à sonner comme un taré à ma sonnette.

« Tain mais qui a ouvert en bas à n'importe qui ? »

Parce que oui, c'est un immeuble moldu, donc. Oui, y a un interphone, et normalement, on ne rentre pas comme ça. Et non, je n'ai pas de suffisamment bons contacts avec mes voisins pour qu'ils débarquent à cette heure chez moi. Ni avec grand monde, manifestement, parce que je n'imagine pas que ça soit réellement pour moi. Une erreur, une mauvaise blague, davantage, et même si le programme que je regardais m'intéressait au final assez peu, ça m'ennuie, clairement, d'être dérangée pour rien.

Sauf que ça n'est pas rien, et quand j'ouvre la porte, prête à râler... je me retrouve nez à nez avec lui. La bouche entrouverte, prise complètement au dépourvu, je suis restée quelques secondes à me demander ce qu'il pouvait bien faire là. Et puis j'ai vu son regard, la grimace douloureuse et mes yeux sont descendus sur sa main comprimant sa poitrine.

« Tu saignes... »

Nouvel instant de blocage, et j'ai ouvert la porte en grand, pour qu'il entre, cherchant à l'aider pour ce faire sans trop bien savoir comment. Du pied, je repousse ma porte en guettant le bruit sec qui m'indiquerait qu'elle a bien été refermée, et le guide vers la méridienne que je viens de quitter.

« La vue du sang me rend malade, tu sais. Et c'est Kath la soigneuse, pas moi. »

Ca se voit que je panique, là ?

« Ou toi. Enfin... D'accord, c'est pas la phrase la plus rassurante du monde. Qu'est-ce qu'il faut que je fasse ? »

Parce que je lis plein de trucs, d'accord. Je peux chercher toutes les infos que tu veux sur le net, d'accord. Et y a une tripotée de trucs dans ma pharmacie dont je me sers jamais mais qui vienne de Kath donc qui seront forcément efficaces... Mais pour le reste... Je veux pas te voir claquer dans mes bras, mais va falloir que tu m'aides. Avant que je tourne de l'oeil, si possible...
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Leeroy G. Jefferson

Leeroy G. Jefferson
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MessageSujet: Re: I knew you were trouble- Hope   I knew  you were trouble- Hope Icon_minitimeJeu 30 Jan - 12:44

Hope & Leeroy ❥ l'amour est invisible pour les yeux des hommes insensibles.


J'ai sonné comme un fou à sa porte ne sachant pas si elle viendrait ouvrir ou pas me fichait du bruit que ça pouvait faire. J'avais juste besoin qu'elle vienne ouvrir. Je ne savais pas vers qui d'autres me tourner, du moins de mes connaissances elle est la plus apte à pouvoir m'aider et ça je n'en doute pas. Le premier truc qu'elle me sort m'aurait presque fait rire si la situation n'était pas catastrophique, si je ne me sentais pas partir et si mal. J'avais à la fois froid et chaud et je me sentais tomber, d’où le fait que je m'appuyais contre sa porte pour tenir encore debout, mais ça ne durerait pas. Ce salaud de ministre la prochaine fois je jure qu'il paiera vraiment, du moins si je suis encore en vie d'ici là.

«  Oh ... sans blague ... j'avais pas remarqué ... »


Ouai j'essaie de faire de l'humour ça craint, surtout que j'arrive à peine à aligner mes mots et que je sens que je vais tituber encore, mais a ma grande surprise elle me guide jusqu'à ce que je puisse m'allonger. Le transplanage m'a fatigué et ma respiration se fait plus saccadée. Je n'ai pas envie de mourir, pas maintenant, pas à vingt-ans, mais au fond si crève maintenant ça fera peut-être des heureux, genre Hazel , peut-être elle aussi, même si vu qu'elle m'aide je ne sais plus quoi en penser. Améthyste m'avait dit qu'elle n'avait pas l'air de me détester et Hope l'avait confirmé, mais ce n'était pas le moment de penser à ça. Ce qu'il fallait faire, si j'étais assez lucide pour lui expliquer comment soigner ce genre de blessures je l'aurais dit, mais la franchement je vais avoir du mal. Je n'ai même pas réussi à lui demander son aide parce que j'avais mal et que je me sentais partir. J'étais persuadé au fond d'elle qu'elle saurait s'en sortir toute seule. C'était moi le médecin, mais je ne pouvais pas lui faire une séance spéciale d'explications. Je n'en avais pas la force, mais si je survis à ça se sera peut-être au programme qui sait.

«J' ...»


J'avais tout simplement peur de mourir, mais je n'arrivais pas à parler sans que ça ne me demande un effort alors que ma blessure continue toujours de couler. La plaie est sans doute plus profonde que je l'avais cru. Il avait eu l’œil ce salaud. Je n'ai pas été aussi malin que je le croyais. Hazel et Améthyste risque de me tuer aussi si jamais elles apprennent ce que j'ai voulu faire, parce que j'étais presque certain que tout le monde va être au courant. Se sera sans doute considérer comme un attaque des rebelles et ça me foutait dans la merde autant que le quartier général. Tout compte fait mourir maintenant serait peut-être pas si mal que ça. Je  ne sais pas pourquoi, mais je n'ai pas pu m'empêcher de saisir la main d'Hope et de la serrer parce que j'avais quand même la trouille de partir et surtout de partir tout seul comme un idiot.    
©flawless


Dernière édition par Leeroy G. Jefferson le Jeu 30 Jan - 15:04, édité 1 fois
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Hope M. Coughlin
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Hope M. Coughlin
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MessageSujet: Re: I knew you were trouble- Hope   I knew  you were trouble- Hope Icon_minitimeJeu 30 Jan - 13:32

Non... Non non non... Ca ne pouvait pas être en train d'arriver. Pas comme ça. Je veux bien que je suis capable de me faire des films et que, oui, j'ai déjà imaginé Lee chez moi, mais c'était pas vraiment ce genre de circonstances, et c'était en général juste avant que je me répète vertement que j'étais trop débile. Et là, il est chez moi, mais en train de se vider de son sang.

«  Oh ... sans blague ... j'avais pas remarqué ... »

Tais-toi. C'est encore pire de me rendre compte que t'as du mal à parler. Par contre, moi, je parle. Tout ce qui me passe par la tête sort parce que oui, je panique. Je me doute bien, avant qu'il réponde, qu'il aura pas la force de m'expliquer quoi faire, et va falloir que je me démerde toute seule pour recoller les souvenirs de ce que j'ai pu avoir comme cours de premiers soins et de ce que j'ai pu apprendre toute seule dans des bouquins. Sauf que cette fois, c'est pas un livre, c'est pas une simulation, et les conséquences si je me plante vont être... désastreuses.

« J' ... »

Je lui dirais bien de se taire, mais il le fait tout seul, et moi, je sens la nausée pointer le bout de son nez à la vue du sang. Mais j'ai pas trop le choix. Je peux pas rester là à rien faire. J'allais partir vers la salle de bains, récupérer tout ce que je peux avoir de médical et attraper ma baguette sur le bureau au retour quand il a pris ma main. Inspire, Hope. Expire. Ca va aller. Il le faut. J'ai posé mon autre main sur les nôtres emmêlées juste un instant.

« Je vais avoir besoin de mes mains, Lee... »

Doucement, j'ai retiré mes doigts des siens, je me force au calme, même si dans ma tête et dans ma poitrine, c'est une tempête, et la première chose que j'ai faite, c'est de retirer sa chemise, histoire de visualiser l'étendue des dégâts. Ca aussi, je l'aurais bien imaginé... autrement. Parce que j'aurais pas vraiment cru que j'en serais à le voir torse nu sans avoir ne serait-ce qu'une seconde pour détailler ses muscles. Non là, tout ce que je suis en train faire, c'est d'observer, c'est la plaie béante que son agresseur lui a laissées. Et de grimacer, réprimant un haut-le-coeur. J'ai attrapé ma baguette, et suis revenue près de lui. Je voudrais tellement pouvoir envoyer mon patronus à Kath, qu'elle vienne m'aider, mais je peux pas risquer de la mettre en danger, elle aussi, en prime. Refermer la plaie. Y a combien d'épaisseurs de tissus organiques à ressouder là ? Est-ce que ça m'aide d'essayer de voir ça d'un point de vue technique ? Pas trop. Mais c'est sans doute moins pire comme ça, parce que si je commence à penser que c'est lui, que si je me merde, il y a toutes les chances qu'il y reste parce qu'il y a des organes vitaux, par là, il paraît, et que je suis pas sûre de supporter de le voir rendre son dernier soupir dans mon salon... Putain Hope concentre-toi... J'ai l'impression que tout ça passe trop lentement. Le sort de restructuration, tissu par tissu, je l'ai lancé combien de fois là ? C'est pourtant pas complètement résorbé. Mais il avait un couteau de boucher sur lui ou quoi ?

« Il t'a pas loupé. Ou elle. Et t'as une copine très jalouse dans ce cas. Et qui descend d'Hercule, parce qu'il faut quand même de la force, de ce que j'ai lu, pour enfoncer une lame dans la chair comme ça. En tout cas, c'est pas juste une égratignure... Oh bordel, Hope ferme ta gueule... Dis-moi juste que je loupe pas une étape... »

Parler c'est pas la meilleure des idées, hein ? Je peux pas m'en empêcher, déjà en temps normal, c'est compliqué, mais là, je suis trop flippée pour laisser un filtre entre mes pensées et ma bouche.

« Meurs pas Lee, s'il te plaît... Kath me tuerait... »

Bon, c'est pas vrai, je crois qu'elle me récupérerait surtout dévastée et qu'elle aurait trop de peine pour moi pour m'en vouloir parce qu'elle a très bien compris, mais passons. Ca, je peux clairement pas lui dire, à lui. Ca va pas arriver, hein ? C'est le boxon dans ma tête, et pourtant je continue à lancer ces sortilèges de soin, les uns après les autres, jusqu'à ce que ça arrête de couler. Je pense que si j'avais été parfaitement calme, ça aurait mis beaucoup moins de temps. Combien il a perdu de sang, pour le coup, avant que ça soit résorbé. J'en sais rien, mais il est livide, et je tremble comme une feuille. Sa chemise ressemble plus à rien, et elle me sert surtout à éponger son torse... Sauf que je m'arrête en cours de route, maintenant que je suis plus occupée à le 'recoudre' magiquement, pour gagner la salle de bains. La vue du sang me rend malade, donc. Je sais même pas comment ça a pu ne pas arriver avant, d'ailleurs. L'entraînement de Kath-Louve qui chasse, peut-être ? Ou peut-être, surtout, parce que quelque part, j'avais pas le choix... J'en sais rien, tout ce que je sais, c'est que j'ai eu du mal à atteindre ladite salle de bains sans défaillir, que je viens de rendre mon dîner, et que même assise sur le carrelage, je me sens partir. Une seconde, ou deux seulement, juste le temps d'être allongée par terre contre le sol froid, les larmes aux yeux. J'ai encore du sang sur les mains, et ce goût âcre dans la bouche, si bien que je prends plusieurs minutes pour retirer tout ça. J'ai frotté mes mains si fort qu'elles en sont rougies et le brossage de dents en règle m'enlève pas cette impression d'avoir encore le coeur au bord des lèvres.

« Lee... »

J'ai peur d'y retourner et qu'il ne soit... plus là. Je l'ai appelé, mais ma voix est tellement faible qu'il a pas dû entendre grand chose. Et c'est encore tremblante que je refais le chemin en sens inverse pour le rejoindre... en espérant pas défaillir encore, même si ma vue se trouble légèrement dès que son sang entre à nouveau dans mon champ de vision...
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Leeroy G. Jefferson

Leeroy G. Jefferson
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MessageSujet: Re: I knew you were trouble- Hope   I knew  you were trouble- Hope Icon_minitimeJeu 30 Jan - 15:06

Hope & Leeroy ❥ l'amour est invisible pour les yeux des hommes insensibles.


Triste sort que celui de mourir tout seul, je me voyais déjà partir, sans en avoir l'envie, mais on ne choisit pas toujours. Enfin je ne suis pas tout à fait mort, mais j'ai le sensation de l'être. Je commence à voir trouble alors qu' Hope lâche ma main. Je n'ai pas très envie de voir la suite, ni de savoir si je vais m'en sortir ou pas. C'est juste triste d'en être arriver là, oui je m'en rend compte seulement maintenant, mon obsession de vengeance a eu raison de moi. Je regrette, c'est certain j'aurais du mieux m'y prendre ou tourner la page, mais c'est trop tard pour les regrets. Ce qui est fait est fait. Je ne sais pas trop ce qu'il se passe avec Hope, ni ce qu'elle est entrain de faire. J'entends ça voix à moitié par bribes. Je crois que c'est sa voix qui me permet de me dire qu'elle va s'occuper de moi et que je peux fermer les yeux, qu'elle sera là quand je vais les rouvrir, si jamais je les ouvres encore.

Il n'y a pas de lumière blanche, pas de couloir étrange, juste du noir et la sensation de vide. Ce n'est pas vraiment ce à quoi je m'attendais. C'est peut-être l'enfer en fin de compte et pas la paradis. Mince jamais je n'avais réellement penser à ça, et ne m'en voulez pas on ne peut pas dire que vous soyez très présent non plus. Ce n'est peut-être tout simplement ni l'un ni l'autre, juste comme un rêve, oui ça doit être ça. Un rêve c'est beaucoup plus rassurant d'avoir cette impression, plutôt que celle d'être perdu, même si je n'ai pas l'impression d'être plus sauver que ça pour autant. C'est drôle j'entends encore sa voix. Hope dans toute sa splendeur. Elle a toujours été comme ça à parler plus rapidement que personne. « Meurs pas Lee, s'il te plaît... Kath me tuerait... » . C'est une bonne information à savoir, maintenant e crois que j'aurai aimé qu'elle ne le dise pas juste pour Kath … mais ce je crois que se serait beaucoup demander, déjà qu'elle m'aide est un grand exploit à mes yeux.

Je ne sais pas trop combien de temps je suis resté comme ça les yeux fermer à moitié dans les vapes, mais sans doute plus longtemps que je le crois. Le jour à l'air de pointer le bout de son nez quand j'ouvre à nouveau les yeux. Je ne suis pas mort, c'est le premier constat que je fais et cette idée est plutôt encourageante. Le deuxième réflexe est de regarder l'état de ma blessure, je suis assez surpris de constater qu'elle a fait du beau travail. Je lève la tête et aperçoit Hope assise pas très loin, elle a du finir par s’endormir. Je n'ai pas envie de la réveillé, mais je crois que je n'ai pas été discret parce qu'en me levant j'ai fait tomber une tasse qui était posé sur un guéridon que je n'avais pas vu à côté de moi.  Je l'ai vu levée la tête je m'attends déjà à celle qu'elle m'incendie alors j'anticipe :

« Désolé pour la tasse et merci ... »


Oui je sais c'est étrange de me voir aussi gentil avec quelqu'un, mais je crois que la ça s'impose et surtout que je  n'ai vraiment pas envie de la mettre en colère, pas après ce qu'elle avait fait pour moi. Je crois qu'elle pourrait me demander n'importe quoi que je le ferais pour la remercier.  
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Hope M. Coughlin
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Hope M. Coughlin
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MessageSujet: Re: I knew you were trouble- Hope   I knew  you were trouble- Hope Icon_minitimeJeu 30 Jan - 17:21

Il n'a pas répondu quand j'ai appelé, ni quand je me suis approchée. Un instant, j'ai cru que ça n'avait servi à rien, et le noir s'est fait autour de moi. Assise à côté de lui, j'ai vu la Terre tourner un instant, et ma main s'est reposée sur la sienne. Inspirer, expirer. Encore. Toujours. Et lui, est-ce qu'il respire ? J'ai cherché son pouls, sur ce poignet sous mes doigts et sentir son cœur battre a eu le don de m'apaiser un tout petit peu. De là à ce que la vue du sang passe tout à fait sereinement, non, faut pas déconner, mais... J'ai vu sa respiration, et ai hoché la tête. Il est toujours vivant, c'est tout ce qui compte.

Je me suis relevée, pas très vaillante, pour débarrasser la pièce du sang qu'il a versé, merci la magie. Sa chemise, la méridienne, mon carrelage, son torse... Mon pyjama aussi, qui n'a pas trop aimé la séance de chirurgie improvisée, bizarrement. Quand j'ai repris place à côté de lui, rabattant le plaid sur lui, j'étais vidée, physiquement autant qu'émotionnellement, et je ne me suis même pas rendu compte que je me suis assoupie à mon tour.

Il fait jour quand un bruit de choc, suivi de celui de ma tasse se brisant au sol me réveille. J'ai levé la tête vers lui, inquiète.

« Désolé pour la tasse et merci …
- C'est rien. La tasse je veux dire. Parce que ça... Si c'était quelque chose, mais c'est normal. Je laisse pas les gens mourir sous mon nez sans rien faire... Mais tu devrais pas te lever. Je suis pas sûre que ça soit super réussi et faudrait pas que ça s'ouvre... » 

Je me suis levée à mon tour, pour me mettre face à lui. Bon évidemment, la tasse brisée au sol, le café qui y restait sur le carrelage, et mes pieds nus, ça fait pas vraiment bon ménage, et je me retrouve comme une andouille, un morceau de faïence dans le pied gauche. Je pince les lèvres, lève les yeux au ciel – je suis définitivement stupide  - et me penche pour le retirer. Etape suivante, éviter d'encore tourner de l'oeil, ramasser ma baguette qui a roulé un peu plus loin, sans doute pendant la nuit, et réparer les dégâts. Et pendant que je m'active, d'abord en soignant mon pied et ensuite en m'occupant du reste, ça m'évite de croiser son regard... Parce que je sais pas ce que je dois y voir, ni comment je dois réagir.

« Je sais que ça me regarde certainement pas et que tu dois pas avoir envie de raconter ça à... une fille du Ministère mais... Qu'est-ce qui s'est passé ?... »

J'ai failli dire la connasse du Ministère, mais... Il ne lui aurait pas confié sa vie, n'est-ce pas ? Et je voudrais bien poser des questions encore plus précises, mais je sais déjà pas si je vais pas me faire envoyer bouler rien qu'avec ça alors... On demandera le reste plus tard... Peut-être. Notamment pourquoi il n'a pas sa baguette – sinon il n'aurait pas eu besoin de moi, n'est-ce pas ?
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Leeroy G. Jefferson

Leeroy G. Jefferson
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MessageSujet: Re: I knew you were trouble- Hope   I knew  you were trouble- Hope Icon_minitimeSam 1 Fév - 16:25

Hope & Leeroy ❥ l'amour est invisible pour les yeux des hommes insensibles.


Je ne sais pas combien de temps j'ai pu dormir, mais en tout cas j'étais toujours en vie et le premier truc que je fais c'est de casser un truc qui lui appartient, la classe totale Lee, de mieux en mieux. Elle n'a pas l'air de m'en tenir rigueur, je ne sais pas si c'est parce qu'elle est trop bouleversée par tout ça ou si c'est parce qu'elle est gentille, dans les deux cas, je lui dois bien des remerciements, sans doute des excuses aussi pour mon comportement à la bibliothèque et pour mon comportement en général. J'ai souris lorsqu'elle à dit que ce n'était rien pour la tasse que pour le reste elle ne m'aurait pas laissé mourir sans rien faire. Je ne m'étais pas attendu à ça, mais je crois que je commence à comprendre qu'elle est réellement une bonne personne et pas celle que je croyais et ça me rassure complètement, mais ça me fait aussi me sentir coupable.

« Pour avoir vu des tas de personne recousue … enfin … à cause de mon travail bien sur … je trouve que c'est plutôt réussir, tu aurais fait une bonne médicomage.»


Ouai je ne sais pas si ça va la rassurer ça. En repensant à mon travail … je me demande si y retourner serait une bonne idée, à présent il n'y avait que nous deux et personne d'autres avait vu la scène, mais si j'y retournais et qu'il avait engagé des poursuites contre moi … j'étais cuis. Il faudrait que je sois prudent à l'avenir. Je n'ai pas forcément envie de me faire arrêter, pas envie du tout même. Je ne sais vraiment pas ce qui serait mieux de faire et je me rassois accablé par tout ça.

La fille du ministère … j'ai levé les yeux au ciel … si seulement on pouvait oublier le ministère pour une fois. Je ne suis pas sur d'avoir envie de parler de ça, mais si je me suis tourné vers elle, c'est que je peux lui raconter sans craindre qu'elle ne trouve quelque chose à redire, bien que je savais déjà qu'elle me dirait quelque chose. C'était dans sa nature de parler et de ne pas faire attention à ce qu'elle disait, c'est ce qui faisait son charme bien-sur. J'ai soupiré sachant qu'elle me retraiterait sans doute d'idiot. J'ai fini par lui avouer tout de mêle ce qui était arrivé, non sans une pointe d'amertume.

« J'ai tenté de m'en prendre au ministre de la coopération magique et internationale, le type qui à tuer ma mère … C'était des infos sur lui que je suis venu chercher l'autre jour à la bibliothèque, Améthyste à fait une enquête pour moi. Sauf que je ne m'attendais pas à ce qu'il soit autant sur ses garde, ni à ce qu'il ai un poignard sur lui. On était que tous les deux, mais je doute qu'il me laisse errer en liberté à présent. »


Il me poursuivrait d'une façon ou d'une autre, même si ça ne faisait pas la une si je retournais à ma vie et qu'il voyait que je n'ai pas mort je risquais fort de me faire arrêter. Je ne lui ai pas dit que j'avais tenté de le tuer … mais je crois que je n'ai pas besoin de faire de dessins.  
©flawless


Dernière édition par Leeroy G. Jefferson le Mar 4 Fév - 22:33, édité 1 fois
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Hope M. Coughlin
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MessageSujet: Re: I knew you were trouble- Hope   I knew  you were trouble- Hope Icon_minitimeDim 2 Fév - 1:28

Si tu savais comme j'en ai rien à faire de la tasse qui a fini par terre... Ca se répare, et la magie aide quand même super bien pour ça. L'essentiel, c'est que toi, tu sois en vie, et c'était pas gagné d'avance, alors... Le reste n'a pas d'importance, vraiment.

« Pour avoir vu des tas de personnes recousues … enfin … à cause de mon travail bien sûr … je trouve que c'est plutôt réussi, tu aurais fait une bonne médicomage.
- Qu'est-ce que ça aurait pu être d'autre que ton job ? Et... Non. Une médicomage qui perd connaissance ou file aux toilettes dès qu'elle voit une goutte de sang, ça le fait pas trop, en fait... »

T'as perdu connaissance, alors tu t'en es pas trop rendu compte, mais moi je sais bien dans quel état j'ai été. C'est même un miracle que ça ait pas été le cas en plein milieu alors... Et je sais, je sais que j'ai encore dit une connerie en évoquant la fille du Ministère, mais... C'est ce que je suis, non ? Déjà, j'ai pas dit la connasse, et c'est une belle évolution, non ? Est-ce que je m'attends à ce qu'il me répondre ? A vrai dire, j'en sais rien. Pas trop. Je crois que j'étais partie pour me faire envoyer bouler, alors quand j'obtiens la réponse que je demandais, après avoir soigné mon pied blessé et réparé sa maladresse... je reste comme une andouille à le dévisager.

« J'ai tenté de m'en prendre au ministre de la coopération magique et internationale, le type qui a tué ma mère … C'était des infos sur lui que je suis venu chercher l'autre jour à la bibliothèque, Améthyste a fait une enquête pour moi. Sauf que je ne m'attendais pas à ce qu'il soit autant sur ses gardes, ni à ce qu'il ait un poignard sur lui. On était que tous les deux, mais je doute qu'il me laisse errer en liberté à présent. »

Je suis restée un moment, donc, la bouche entrouverte à le regarder. Ok. Je savais que sa mère était morte ce jour, pas qui en était l'auteur. J'avais bien compris qu'il était parti pour se venger, et je ne me faisais aucune illusion sur ce qu'Ame' lui avait fourni. Mais... Putain le ministre de la coopération magique. Et il y a été tout seul...

« T'es bête ou quoi ? Les enflures de première dans son genre, c'est jamais inconscient des risques, malheureusement. Bien sûr qu'il était sur ses gardes ! Et si tu m'avais demandé, j'aurais pu te donner quelques indices. Ce types est une ordure, même avec ses collègues. Et c'est sans doute un des plus parano, même... »

Oui, bon, bah on reviendra pas plus sur le fait que non, il n'allait pas demander à la connasse du Ministère des infos sur un de ses petits copains, bon. Est-ce que je suis aigrie à ce sujet ? Mais bien sûr que oui ! Et non, bien évidemment qu'il n'a pas besoin de préciser qu'il a voulu le tuer. Se venger, lui faire payer la mort de sa mère. J'aurais pas forcément été plus clémente, de toute façon, alors je vais pas lui jeter la pierre. Par contre...

« Lee... »

Un soupir passe mes lèvres comme je l'interpelle. Il s'est rassis et ça me rassure un peu. J'ai pas vraiment envie de me battre pour qu'il reste au calme, ne serait-ce que quelques heures.

« Tu veux ta vengeance, je comprends bien... Mais tu t'intéresses pas au pékin du coin... Ces gens-là... »

Je me suis rassise à côté de lui, les doigts noués sur mes genoux.

« Ils savent très bien ce qu'ils font, et quand bien même leurs idées sont pourries, ils sont pas si cons. La preuve... »

J'ai relevé les mains vers mon visage, un instant songeuse, avant de me tourner à nouveau vers lui et de reprendre la parole.

« Bon... Il y a toutes les chances en effet qu'il s'attaque à toi, à présent, s'il voit que t'es toujours vivant. Maintenant y a deux options... »

Et tu vas pas aimer, mais on n'a pas vraiment le choix, à présent. Oui, on. Tu m'as entraînée là-dedans, j'ai pas l'intention de te laisser te démerder tout seul à présent... Et à vrai dire... C'est peut-être très con, mais ça me fait plutôt plaisir.

« Soit tu fais en sorte qu'il te croie mort, et tu disparais de la circulation. Mais ça veut dire être très limité dans tes mouvements, voir le moindre de tes actes régulé pour pas qu'on te repère et abandonner complètement ta vie jusqu'à maintenant... »

Et c'est ce qu'a fait Kath et crois-moi, c'est pas facile tous les jours. Est-ce que je peux te dire ça ? Non. C'est à elle de le faire si elle l'estime faisable, pas à moi. C'est son secret et quand bien même je te fais confiance, quand bien même je sais qu'elle aussi, c'est à elle que cette décision revient, pas à moi.

« Soit... On joue sur le fait que vous étiez que tous les deux. Sa parole contre la tienne. Et s'il y a suffisamment de preuves de ta présence ailleurs ce soir... Il pourra dire ce qu'il veut, personne pourra décemment le croire... »

Et je te sens sceptique, donc je vais m'expliquer.

« Je peux me débrouiller. Trouver un moyen pour qu'on te voie ailleurs. Qu'on t'ait vu, ailleurs. Les sorciers sont pas fans des moyens moldus, certes. Mais n'empêche que... Si les caméras de surveillance d'un mall t'ont spotté à l'autre bout de la ville au moment des faits, ça leur sera difficile de prouver que t'y étais pas vraiment. Voire impossible parce qu'avant qu'ils retrouvent mes traces... »

J'ai haussé les épaules. Je cherche pas spécialement à m'envoyer des fleurs, loin de là. Juste à l'aider.

« Quelques confundos éventuellement pour avoir des témoignages qui corroborent et... Ca devrait marcher. »

On peut jamais être sûr à cent pour cents, donc je peux pas être absolument positive, mais... oui, j'y crois. Un reparo ou n'importe quel sort de base derrière pour qu'un prior incantato ne me vende pas et voilà... J'aurais qu'à être... un peu plus maladroite que d'h'baitude, dirons-nous. Cela étant...

« Tu te vengeras, Lee... Mais pas de façon aussi... Impulsive. Contre lui, et tous les siens, d'ailleurs, il va falloir un plan plus élaboré. Et il va falloir que tu acceptes de pas être tout seul, aussi. Parce que je te jure que si t'y retournes de la même manière, c'est moi qui te tues. »

Tu m'as faite flipper à mort, j'ai cru que t'allais vraiment mourir dans mes bras, et je refuse de vivre ça une deuxième fois. T'en as certainement pas grand chose à fiche de ce que ça peut me faire - si je savais à quel point je me plante, par Merlin... - mais n'empêche que j'endurerais pas ça douze mille fois. Même pas deux.

« Je sais pas comment j'ai réussi à tenir le coup pour que tu sois hors de danger cette nuit, mais ça marchera pas à chaque fois. Alors me refais plus jamais ça, s'il te plaît... »

Je suis peut-être pas prête à te supplier à genoux, j'ai ma fierté moi aussi mais... Je t'en prie, me fais pas subir ça à nouveau. Je suis pas sûre d'être capable de le supporter. Ou plus exactement... Je crois que je suis sûre de pas être capable de le faire...
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Leeroy G. Jefferson

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MessageSujet: Re: I knew you were trouble- Hope   I knew  you were trouble- Hope Icon_minitimeMar 4 Fév - 22:35

Hope & Leeroy ❥ l'amour est invisible pour les yeux des hommes insensibles.


Elle avait perdue connaissance à cause du sang … j'ignorais qu'elle ne supportait pas la vue du sang, si j'avais su peut-être que je ne me serais pas tournée vers elle, mais je n'ai pas vraiment pensé à quelqu'un d'autre. J'étais surtout concentré sur le fait que je ne pouvais pas me guérir tout seul parce que je n'avais plus de baguette et qu'il fallait que je trouve quelqu'un qui ne panique pas et qui sache quoi faire et j'avais pensé tout de suite à elle, je m'étais dis qu'avec Kath elle avait du en voir des vertes et des pas mûres alors forcément je n'avais pas hésité à venir chez elle, mais je ne me doutais pas que ça avait été un calvaire de supporter ça. Je lui était donc d'autant plus reconnaissant de m'avoir sauver la vie. Et en parlant de ma baguette, ça me fait penser que je vais devoir aller en racheter une nouvelle. Je n'ai pas pu récupérer la mienne et on sait bien qu'elles sont pratiquement irréparable.

« Ah merde, je n'ai plus baguette. J'y repense parce que quand j'ai vu que je ne pouvais pas m'en servir j'ai tout de suite pensé à toi qui a du connaître des situations d'urgences avec Kath et du coup c'est pour ça que je suis venu sonné à ta porte, mais je ne me doutais pas que tu étais malade à la première goutte de sang, désolé.»


Oui je suis désolé de lui avoir fait endurer tout ça, et surtout d'être encore un peu goujat dans mes mots, j'espère qu'elle ne prendra pas trop mal le fait que je la crois prête à s'évanouir à la moindre petite goutte de sang, la connaissance elle va se justifier, me dire que c'est de ma faute et que ce n'était pas qu'une petite goutte, que je me vidais carrément et que j'aurais pu y rester. Je suis totalement près à entendre ses reproches. Je me suis rassis sur ses conseils, sachant aussi qu'il valait mieux que je me ménage pour l'instant. A mon grand étonnement j'ai fini par lui avouer ce qui s'était réellement passé et je m'attendais là aussi à ce qu'elle m'engueule et je crois en fait que j'aurais préférer qu'elle me crie dessus plutôt qu'elle garde son calme comme elle le fait. Je suis étonné qu'elle m’appelle Lee, y a longtemps que je n'ai pas entendu ce surnom là. Je tourne la tête vers elle lorsqu'elle s'assoit à mes côtés, ce qui me surprends aussi d'ailleurs, j'aurais pensé qu'elle me fuirait plutôt que d'essayer de me rendre servir et de m'expliquer calmement ce que j'aurais du faire. Évidement que je ne m'intéresse pas au dernier petit venu de la bande, je n'y peux rien si c'est lui qui a tué ma mère, si ça aurait été le ministre de la magie lui même j'aurais pris plus de précaution et je ne serais sans doute pas là ce soir, mais voilà ça s'était passé comme ça et je ne peux pas revenir en arrière. Quand à la confiance, oui j'aurais sans doute du lui accorder plus d’intérêt et savoir que niveau secret elle s'y connaissait, mais j'avais voulu agir tout seul, pour n'impliquer que moi dans l'affaire. Elle est intelligente, très intelligente même, je m'en veux de l'avoir traiter comme je l'ai fait. Je ne sais pas trop quoi faire, disparaître et arrêter tout ce que je fais avec le quartier général, retourner à mon travail comme si de rien était et attendre que l'on vienne m'arrêter pour obstruction au gouvernement ? La suite me laisse perplexe. Je m'attendais vraiment pas à ce qu'elle me propose de brouiller les pistes, ni de me venir en aide comme ça. Elle n'a vraiment peur de rien décidément. J'ai souris légèrement lorsqu'elle me dit que j'aurais besoin d'aide pour me venger, je ne comprends toujours pas pourquoi elle m'aide, mais je crois qu'elle à raison.

« La prochaine fois j'aurais ma baguette … Je plaisante, je te remercie de m'accorder tant d’intérêts, mais pourquoi si soudainement, alors que j'ai été un parfait imbécile avec toi depuis qu'on s'est recroisé? Pourquoi tu m'aiderais à me venger alors que ça ne te concerne pas ? Si j'ai voulu me venger c'est pour prouver que je ne suis pas un lâche. Toi, tu n'a rien à prouver. »

J'avais besoin de m'en sortir tout seul, mais tout seul se serait sans doute plus long et plus compliqué. Je ne savais plus trop quoi faire, son aide serait la bienvenue, mais je ne veux pas risquer de la perdre, cette vengeance je la dois à ma mère, parce que je n'ai rien fais quand il l'a tuée, je n'ai pas pu faire quoi que se soit pour l'aider et je m'en veux terriblement. J'ai besoin de cette vengeance, de ce que je fais pour monter que je ne suis pas un lâche et que je vaut quelque chose.
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Hope M. Coughlin
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MessageSujet: Re: I knew you were trouble- Hope   I knew  you were trouble- Hope Icon_minitimeMer 5 Fév - 9:58

« Ah merde, je n'ai plus baguette.
- T'as laissé ta baguette là-bas, hein ? C'est bien ce que je craignais... Tu me facilites vraiment pas la tâche, tu sais ?... C'était où exactement ?
- J'y repense parce que quand j'ai vu que je ne pouvais pas m'en servir j'ai tout de suite pensé à toi qui a dû connaître des situations d'urgences avec Kath et du coup c'est pour ça que je suis venu sonner à ta porte, mais je ne me doutais pas que tu étais malade à la première goutte de sang, désolé.
- On a tous nos petits secrets, hein, puis même si c'est arrivé que je doive aider Kath, c'est pas pour ça que j'ai pas fini dans ce genre d'état... Et puis bon, t'es mignon, mais c'était pas trois gouttes là... Tu sais combien de temps j'ai passé après à nettoyer ce salon ? Et ta chemise d'ailleurs, aussi, au passage ? »

Chemise que je lui tends, donc, et mon regard tombe encore et toujours sur son torse avant que je le détourne, légèrement embarrassée. Ouais mignon, ouais, chut, j'ai rien dit, concentrons-nous sur le reste. Parce que oui, la magie aide, mais j'étais pas en état de lancer des sorts parfaits d'un coup, donc ça a pas été tout seul, tu vois, j'y ai passé un moment avant qu'on ait plus de traces de ce qu'il s'est passé ici cette nuit... Et non, je ne dirais rien sur les muscles parfaitement dessinés de tes abdominaux desquels j'ai détourné le regard, même si ça me rappelle bizarrement une certaine conversation pas si ancienne et qui a déjà fini par me mettre dans l'embarras parce que t'as débarqué.

Et on ne parlera même pas de toute ce que tu ne sais pas, en fait, je suis pas sûre d'être prête à tout dévoiler, surtout pas à encaisser les réactions que ça pourrait entraîner... Mais on a autre chose à penser : sa baguette à récupérer, le plan de détournement de l'attention, on va dire et le Ministre en question à surveiller à présent.

« La prochaine fois j'aurais ma baguette …
- Comme cette fois-ci tu veux dire ?
- Je plaisante, je te remercie de m'accorder tant d’intérêt, mais pourquoi si soudainement, alors que j'ai été un parfait imbécile avec toi depuis qu'on s'est recroisés ? Pourquoi tu m'aiderais à me venger alors que ça ne te concerne pas ? Si j'ai voulu me venger c'est pour prouver que je ne suis pas un lâche. Toi, tu n'as rien à prouver.
- Et bah disons qu'on est deux idiots... »

Parce que oui, t'as été con avec moi, mais en même temps, après tout ce que j'ai laissé échapper de ma grande bouche depuis qu'on se connaît, est-ce que c'est si surprenant ? J'ai secoué la tête. Moi j'ai rien à prouver ? La blague... Si tu penses que t'es lâche, je suis quoi moi ? J'ai failli y rester et deux des personnes qui me sont les plus chères ont été blessées, marquées à vie. Je pourrais jamais réparer ça, et je retrouverai peut-être jamais le loup qui leur a fait ça. Mais...

« Puis j'ai au moins une chose à prouver : que je suis pas la connasse que tu croyais... »

Et non, tu me feras pas dire pourquoi ça m'importe autant, je sais à quel point c'est ridicule, alors passons, s'il te plaît. Je me suis relevée, finalement, et j'ai avancé jusqu'à la fenêtre, les bras croisés sous ma poitrine, avec la sensation désagréable d'avoir terriblement froid tout à coup.

« Et si toi t'es lâche... Lee... J'ai même pas essayé de trouver qui était cet enfoiré de Loup qui lui a fait ça... C'est pour moi qu'elle a été mordue, et que mon frère a été blessé au visage. Et j'ai jamais cherché à savoir qui c'était. J'arrête pas de me dire que si je le tenais, je lui arracherai la gorge comme il avait sans doute l'intention de le faire à la base, mais je risque pas vu que je fais rien pour le retrouver... »

Parce que j'ai peur. De me retrouver face à lui, et d'encore me retrouver tétanisée comme ce soir-là. Je me suis fais des films, pourtant, à ce sujet. Je me suis vue l'aborder, dans une ruelle sans doute guère différemment de ce qu'il a fait lui hier soir, juste lui dire que c'est pour Kath et Honor, même s'il ne connaît certainement pas leurs non, et puis me changer en louve pour lui sauter dessus le faire basculer et tomber à terre, et lui planter mes crocs dans la gorge. Mais j'ai jamais été plus loin que ça, des émanations fantasques de mon cerveau qui bouillonne sans doute toujours un peu trop. Et des mots un peu trop imagés aussi, sans doute... Sous forme humaine, lui arracher la gorge ? Je sais pas si ça lui mettra la puce à l'oreille, mais j'ai pas trop envie que ça soit le cas, et à cet instant, j'y pense même pas vraiment. Je regarde dehors la luminosité qui change, derrière les nuages, sans vraiment trop la voir...

« Tu t'y prends peut-être pas comme il faut, mais au moins t'as le courage d'essayer. »

Moi pas.
Et j'ai pas vraiment envie de recroiser ton regard pour y voir le mépris, le dégoût ou je ne sais trop quel sentiment négatif, que cette tare de plus me concernant peut te faire ressentir encore...
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Leeroy G. Jefferson

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MessageSujet: Re: I knew you were trouble- Hope   I knew  you were trouble- Hope Icon_minitimeMer 2 Avr - 16:20

Hope & Leeroy ❥ l'amour est invisible pour les yeux des hommes insensibles.


Je me sens minable sans ma baguette, quel idiot j'ai fait. J'ai cru pouvoir réussir tout seul à m'en prendre à un agent haut placé, c'était stupide et si Hazel sait ça elle risque de me tuer encore plus que d'habitude. Il faudra que je le lui dise tôt ou tard, mais pour le moment je devais me contenter de rester là et de ne pas faire ma chochotte. Je mérite bien une petite remise à niveau, j'ai tout fait de travers. Je le reconnais, j'ai agis dans mes propres intérêts et si j'en avais parlé à quelqu'un j'aurais peut-être réussis ma tâche, mais avais-ce autant d'importance désormais? Est-ce que ça comptait vraiment? Sans ce salaud ma mère serait encore en vie, mais c'est moi qui avait faillit y passer alors est-ce que ça valait le coup de prendre tout ces risques? Est-ce que c'est ce qu'elle aurait voulu? Je ne le saurais sans doute jamais. La perte de ma baguette me rend vulnérable pour tout, c'est presque comme perdre un bras. Evoque Kath avec Hope me fait de la peine. Je ne sais pas ce qu'elle doit vivre tous les jours, mais ça ne doit pas être évident, fuir toujours fuir, est-ce que je devrais faire pareil à présent? Le ministre de la coopération magique se mettrait-il en chasse après moi? Je n'en savais rien. Seul l'avenir me le dirait, mais l'avenir semble si loin. Je ne peux m'empêcher de sourire lorsqu'elle me tend ma chemise, j'avais presque oublier que j'étais à moitié nu devant elle. Ce n'est pas vraiment la première fois qu'elle me voit torse nu, à l'époque je passais la plupart de mes vacances chez Kath et Hope y était souvent aussi, pour ne pas dire toujours, mais cette fois c'était peut-être différent, on était adulte.

Je ne dis rien me contentant de la regarde un peu, ses cheveux blonds qui brillaient au soleil pendant les vacances n'ont pas changé, comme elle, toujours aussi franche. J'ai toujours aimé ce côté là chez elle, moins toutes les fois où elle me traitait de con, mais j'en avais pris l'habitude. La prochaine fois j'aurais ma baguette avais-je dis … y aurait-il seulement une prochaine fois? C'était peut-être un signe comme quoi je devais arrêter cette quête stupide et me rangé, oublié tout ça, mais comment oublié après tout ce que j'ai perdu? Je ne pensais pas que se serait si simple à m'excuser de mon comportement. Ce n'est pas simple à proprement dit, je dois admettre que j'ai préférer tout dire d'une traite sans trop y penser plus, sachant que je n'aurais pas réussis à admettre mes tort et pourtant je me sens presque mieux de le lui avoir dit. Je souris lorsqu'elle me dit qu'on est deux idiot. Je suis surpris qu'elle veuille me prouver qu'elle n'est pas celle que je croyais. Je le savais déjà au fond, je ne voulais juste pas me l'avouer. C'est la première fois que l'on reparle du loup. Je me souviens de cette nuit là. J'étais arrivé après, mais je n'avais pas été indifférent. Je m'étais inquiété, autant pour Kath que pour Hope et son frère.

« Ça aurait vraiment changé quelque chose? Vous êtes en vie c'est ce qui compte. Regarde-moi j'ai faillit me faire avoir pour cette vengeance et ça n'a rien changé.»

J'essayais de lui faire comprendre qu'il valait peut-être mieux qu'on abandonne nos quêtes de vengeances tous les deux. Ça ne pouvait nous apporter que des ennuis, mais depuis le temps que je vis pour cette vengeance, pourquoi arrêterais-je ma course? Le courage d'essayer et la peur de crever.

« Je serais mort pour ça … ce n'est pas forcément ce que j'imaginais. Ils auront leur compte, tôt ou tard, quelque chose leur tombera dessus …»

Je n'étais pas certain que j'arriverais à enterrer cette haine que j'avais envers l'assassin de ma mère, mais autant qu' Hope ne s'acharne pas à vouloir faire de même avec le loup qui a transformer sa cousine, se serait du temps perdu.
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MessageSujet: Re: I knew you were trouble- Hope   I knew  you were trouble- Hope Icon_minitimeSam 7 Juin - 11:07

Que ce serait un sorcier sans sa baguette, n'est-ce pas ? Pour l'heure ce qui m'inquiète surtout, c'est que les morceaux brisés là-bas, c'est une preuve contre lui. Et ça, ça ne doit pas rester comme ça.

Pourtant on est encore là, à discuter, et je dois bien avouer que cette conversation-là ne me plaît pas beaucoup non plus. Pas parce qu'on parle de ma cousine, évidemment, mais parce qu'il s'agit du Loup et de ma propre lâcheté. Je sais qu'on oublie pas. Je sais que la vengeance est une chose à laquelle on pense, si ce n'est tout le temps, au moins régulièrement. Je ne sais pas si ça change quelque chose une fois qu'on l'a assouvie, et peut-être que je ne le saurais jamais.

« Ça aurait vraiment changé quelque chose ? Vous êtes en vie c'est ce qui compte. Regarde-moi j'ai failli me faire avoir pour cette vengeance et ça n'a rien changé. »

Je me suis décidée à me retourner vers lui, alors, à recroiser son regard. J'en sais rien, vraiment. Est-ce que ça changerait vraiment les choses, est-ce que j'arrêterais de repenser à cette nuit-là, de temps en temps, et de m'en vouloir ? Je suis pas sûre, en effet. Ca changera rien au fait que Honor est balafré à vie, et que Kath est devenue Louve.  

« Je serais mort pour ça… ce n'est pas forcément ce que j'imaginais. Ils auront leur compte, tôt ou tard, quelque chose leur tombera dessus…
- Peut-être... »

J'espère. Mais est-ce qu'on doit vraiment rester attentistes ? J'en sais toujours rien. Ce que je sais par contre, c'est que sa baguette va pas disparaître du lieu du crime toute seule.

« Mais t'as pas répondu à ma question. C'était où exactement ?... »

J'attends sa réponse, puis lui intime de ne pas bouger, enfile un manteau par-dessus mon pyjama et transplane au lieu indiqué. Il ne m'a pas fallu longtemps pour retrouver les morceaux de son bien - et à vrai dire un accio m'aura évité des recherches inutiles - et je suis revenue chez moi, aussitôt. Pour lui remettre son bien en main... Malgré son état déplorable.

« Tu pourras effectivement plus t'en servir, va falloir t'en procurer une autre... Je dois pouvoir voir avec Kath, la sienne vient des Etats-Unis, ça peut brouiller les pistes, histoire qu'on sache pas trop que tu viens d'en acheter une nouvelle bizarrement. Si je peux te donner encore un conseil, fais en sorte que personne tombe dessus, qu'on fasse pas le lien non plus avec ce qu'il s'est passé ce soir. »

Mais je sais comme une baguette peut être précieuse, alors j'irai pas jusqu'à lui conseiller de pas la garder avec lui. Par contre.

« Et maintenant, tu te reposes. Ton corps a besoin de reprendre des forces et moi, je dois aller bosser pour sauver les apparences. Et ça, c'est pas un conseil, c'est un ordre. »

Et je suis ultra-sérieuse, d'ailleurs j'attends aucune réponse, je file dans ma chambre prendre quelques affaires, puis la désigne de la main - ça me fait un peu, bon non, très bizarre de lui donner mon lit, mais... passons - et je m'enferme dans la salle de bain le temps de me préparer presque comme si de rien n'était. J'en mène pourtant pas large une seconde, y a le type qui me fait craquer qu'est chez moi, et je viens de lui laisser ma chambre et... et je me vois devenir écarlate devant le miroir si bien que c'est une douche presque froide que je prends, avant de me préparer plus vite que jamais, histoire de pas avoir trop le temps de divaguer - ce qui ne fonctionne pas super bien, mais passons. Et finalement, les cheveux retenus en une queue de cheval, un maquillage plus ou moins appuyé pour cacher la fatigue, je ressors, vêtue d'une blouse rose et d'une jupe droite noire que un legging épais, prête à prendre veste cintrée, manteau épais et bottines fourrées pour aller bosser...
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